« Anecdote Rousse No 6»- Mylène Farmer anecdote

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Anecdote Rousse No6 : Presque trente ans plus tard, la petite fille de « Maman a tort » court toujours dans l’imaginaire Farmerien.

Un refuge, une âme pour fuir l’inévitable déchéance et s’accrocher désespérément à la jeunesse, « Plus grandir pour pas mourir/ pas souffrir ». Une enfance rêvée, imaginée, reconstruite…

Car Mylène a entièrement gommé de sa mémoire sa propre et véritable histoire. Un conte saupoudré de neige canadienne qui commence le 12 septembre 1961…à Pierrefonds, à côté de Montréal.

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Miss Farmer se nomme alors Mylène Gautier. C’est la troisième enfant d’un couple dont le père est ingénieur des ponts et chaussées, nommé pour la construction d’un barrage sur la rivière Manicouagan.

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Quelques bribes de souvenirs épars remontent en surface : un écureuil tombé du nid, un premier prix de chant à l’âge de dix ans, à l’école privée sainte Marcelline, les premiers conflits intérieurs, la solitude « un long monologue »…rien de tragique a l’horizon. À moins que…les Gautier retournent en France avec un quatrième enfant, un fils né en 1969. Et choisissent une autre banlieue « bourgeoise » pour s’installer à Ville-d’Avray, près de Versailles. Mylène se prend de passion pour l’équitation. Premiers cours à Porchefontaine, puis inscription, vite regrettée, au monitorat d’équitation du cadre noir de saumur.

Plus tard, elle tissera des liens professionnels, puis amicaux, avec le célèbre cascadeur Mario Lurashi, présent, entre autres sur « Pourvu qu’elles soient douce » ou encore « Giorgino ».

Les chevaux…mais pas uniquement. Mylène se voue un amour profond aux animaux. ET, son premier petit singe, achetées 1985 quai de la Mégisserie, serra accompagné, deux ans après, d’un autre capucin, Léon. N’oublions pas Alice – comme tu me manque/L’araignée, et tous les veaux- vaches- cochons de « The Farmer Conclusion’s ». L’école ? Mylène s’en fout…En terminale, elle tient simplement deux jours… « Je fus simplement congédiée » avouer a-t-elle à Philippe séguy.

Jusqu’à « Maman a tort » et sa rencontre décisive avec Mr Laurent Boutonnat et Jérôme Dahan…La suite, si vous êtes sage…demain. Bonsoir à vous les z’amis…et, merci de tout cœur pour tout ce que vous faites pour moi…🧡🙏🌃(PS : Joyeuses pâques à vous tous, et joyeuses pâques à M…)

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THIS PORTION AUTO-TRANSLATES:

Anecdote Rousse No6: Almost thirty years later, the little girl in “Mommy is wrong” is still running around in the Farmerian imagination. A refuge, a soul to escape the inevitable decline and desperately cling to youth, “Plus grandir not to die/ not to suffer”. A dreamed, imagined, reconstructed childhood…

Since Mylène has completely erased her own true story from her memory, a tale sprinkled with Canadian snow began on September 12, 1961…in Pierrefonds, near Montreal. Miss Farmer’s name was Mylène Gautier. She was the third child of a couple whose father was a civil engineer appointed to build a dam on the Manicouagan River.

A few scraps of scattered memories come to the surface: a squirrel that fell out of the tree nest, a first prize in singing at the age of ten, at the public school of Sainte Marcelline, the first inner conflicts, solitude, “a long monologue”… nothing tragic on the horizon. until…the Gautiers return to France with a fourth child, a son born in 1969. They chose another “bourgeois” suburb to settle in Ville-d’Avray, near Versailles. Mylène takes a passion for equestrianism. First lessons at Porchefontaine, then enrolment, soon regretted, for the Cadre Noir de Saumur riding instructor.

Later on, she would forge a professional bond, and then a friendly one, with the famous stuntman Mario Lurashi, who was present, among others, on “Pourvu qu’elles soient douce” and “Giorgino”.

Horses…but not only. Mylène has a deep love for animals. ET, her first little monkey, bought in 1985 quai de la Mégisserie, will be accompanied, two years later, by another capuchin, Léon. Let’s not forget Alice – how I miss you/Spider, and all the calves-cows-pigs in “The Farmer Conclusion’s”. School? Mylene doesn’t care… In her final year, she just lasts two days… “I was simply dismissed”, she admitted to Philippe Seguy.

Till ” Maman a tort ” and her decisive meeting with Mr Laurent Boutonnat and Jérôme Dahan…The rest, if you are wise…tomorrow. Good evening to you all…and, thank you from the bottom of my heart for everything you do for me…🧡🙏🌃(PS: Happy Easter to you all, and happy Easter to M…)