« 10,11,12 pourvu qu’elles soit douce… »- Mylène Farmer La Défense Arena 2019

« 10,11,12 pourvu qu’elles soit douce… »- Mylène Farmer La Défense Arena 2019

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Anecdote No52 : Ce soir je vous propose une première partie assez courte, consacrée sur le sujet des références présente dans l’album « Désobéissance ». Puis une deuxième partie reviendra plus en détails sur la collaboration de Mr Esteban Diácono avec Mylène.

Si le spectacle à La Défense arena (Dieu que ça fait bizarre d’écrire ce mot…) contient des références sur la carrière de Mylène, l’album « Désobéissance » qui le précédait quelques mois en recelait également. On retrouvait ainsi « 10,11,12 pourvu qu’elles soit douce… » dans les paroles de « Sentimentale ».



« Être deux, s’approcher/Pour ne faire qu’un ici/Ainsi soit-il… », en référence à « Ainsi soit je… »

dans « On a besoin d’y croire », ce titre rappelant par ailleurs, et bien évidemment, les


« On a besoin d’amour » clamés par Mylène dans « XXL ».


Quant à « Désobéissance », Mylène expliquait elle même dans le journal de 20 heures sur TF1, le 30 septembre 2018 : « Je crois que c’est une période de ma vie. Voilà, il y’a eu

« Désenchantée », il y’a eu « Dégénération », et maintenant c’est « Désobéissance ».

Penchons nous maintenant sur le travail d’Esteban Diácono qui met en effet en scène des personnages aux corps distordus, difformes sur le titre « Histoire de fesses » : « La première note que j’ai reçue disait : Érotisme abstrait.



Mon premier entretien avec Mylène et la manière dont elle a réagi en voyant les dessins m’ont indiqué assez clairement qu’elle direction je devais prendre. Les images que je lui proposais l’amusaient. Je lui ai soumis trois atmosphères possibles. J’ai élaboré l’esthétique visuelle du backdrop à partir de celle qu’elle avaient retenue. Puis j’ai divisé la chanson en section (couplet, refrain, pont) et associé à chacune d’elles un thème visuel.

« 10,11,12 pourvu qu’elles soit douce… »- Mylène Farmer La Défense Arena 2019

Au départ j’ai eu cette idée des bavardages, de ces histoires qu’on entend ici et là sur les gens. J’ai voulue éviter de montrer des visages, préférant avoir recours à des parties du corps dans un espace très sexy, éclairé au néon. J’ai défini trois sections principales, l’une avec des silhouettes féminines, l’autre avec une mer de corps distordus et une dernière, pour le « pont », construite essentiellement sur des simulations de tissu et des rétroéclairages. »

« 10,11,12 pourvu qu’elles soit douce… »- Mylène Farmer La Défense Arena 2019

Merci pour votre attente, j’espère que le programme de ce soir vous plaît. Bonne soirée à vous tous les z’amis🙏🌃🧡(Ps : dessin réalisé par Kinu Sekigushi, connu pour avoir fait des manga à la fin de chaque magazine « Mylène Farmer et vous »)


THIS PORTION AUTO-TRANSLATES:

Anecdote No52 : Tonight I propose a first short part, dedicated to the subject of the references present in the album “Désobéissance”. Then a second part will be dedicated to the collaboration of Mr Esteban Diácono with Mylène. If the show at La Défense arena (God, it feels strange to write this word…) contains references on Mylène’s career, the album “Désobéissance” which preceded it a few months ago also contained some. One found thus “10,11,12 pourvu qu’elles soit douce…” in the lyrics of “Sentimentale”.

“Être deux, s’approcher/Pour ne faire qu’un ici/Ainsi soit-il…”, in reference to “Ainsi soit je…” in “On a besoin d’y croire”, this title also reminding, and obviously, the “On a besoin d’amour” proclaimed by Mylène in “XXL”. As for “Désobéissance”, Mylène herself explained on the 8pm news on TF1 on September 30, 2018: “I think it’s a period of my life. There was “Disenchanted”, there was “Degeneration”, and now it’s “Disobedience”.

Let’s take a look at the work of Esteban Diácono who indeed stages characters with distorted, deformed bodies on the title “Histoire de fesses”: “The first note I received said: Abstract eroticism. My first interview with Mylène and the way she reacted when she saw the drawings indicated quite clearly which direction I should take. She was amused by the images I was proposing to her. I gave her three possible atmospheres. I elaborated the visual aesthetics of the backdrop from the one she had chosen. Then I divided the song into sections (verse, chorus, bridge) and associated each one with a visual theme.

At first I had this idea of the chatter, the stories you hear here and there about people. I wanted to avoid showing faces, preferring to use body parts in a very sexy, neon-lit space. I defined three main sections, one with female silhouettes, one with a sea of distorted bodies, and one for the “bridge,” built mostly on fabric simulations and backlighting.” Thank you for waiting, I hope you enjoy tonight’s program. Good evening to you all amis🙏🌃🧡 (Ps: drawing made by Kinu Sekigushi, known for having made manga at the end of each magazine ” Mylène Farmer et vous “)

Published by Ella V. Sky

Writer. Poet. Woman. Soul

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